Je suis ravi d’avoir contribué à ce numéro intitulé Le récit auto-pornographique – Une stratégie critique des genres, dirigé par Claire Lahuerta et Mélodie Marull. Comme l’exprime avec pertinence l’artiste Marianne Chargois, il s’agit, avec le discours autopornographique, de « [sortir] le sexuel et sa représentation de la petite histoire érotique pour l’inscrire dans l’agencement au monde et le rapport à la norme. »
Dans ce cadre, j’ai le plaisir de signer l’article « Autoporn 3.0 : récits autobiographiques et nouvelles technologies », une réflexion sur l’apport des technologies de l’intime et de la culture post-porn au renouvellement des discours pornographiques autobiographiques.